Les Trois Mousquetaires : Milady, le grand
spectacle à son summum en Dolby

Les Trois Mousquetaires : Milady, le grand spectacle à son summum en Dolby D’Artagnan, première partie du diptyque des Trois Mousquetaires de Martin Bourboulon sorti le 5 avril 2023, avait remporté un franc succès, avec plus de 3,3 millions d’entrées et plus de 30 millions de dollars de recettes mondiales. Le deuxième volet, Milady, est sorti sur les écrans le 13 décembre dernier, et se réclame, comme son prédécesseur, d’être un « film spectacle », selon les termes utilisés par Jérôme Seydoux, président de Pathé. Grand spectacle, grands acteurs, grand budget, grands effets : pour continuer à attirer les spectateurs en salles, dans un contexte de montée en puissance des nouveaux modes de visionnage en streaming, l’idée est de proposer un divertissement haut en couleurs, pour lequel la qualité de visionnage est importante. Et utiliser les technologies Dolby, à savoir le HDR Dolby Vision et le son immersif Dolby Atmos, « magnifie tout », comme le souligne Nicolas Bonnet, directeur de la post-production, grâce à la qualité d’image et de son inégalée et à l’immersion inédite qu’elles apportent.

Les Trois Mousquetaires : Milady, le grand spectacle à son summum en Dolby D’Artagnan, première partie du diptyque des Trois Mousquetaires de Martin Bourboulon sorti le 5 avril 2023, avait remporté un franc succès, avec plus de 3,3 millions d’entrées et plus de 30 millions de dollars de recettes mondiales. Le deuxième volet, Milady, est sorti sur les écrans le 13 décembre dernier, et se réclame, comme son prédécesseur, d’être un « film spectacle », selon les termes utilisés par Jérôme Seydoux, président de Pathé. Grand spectacle, grands acteurs, grand budget, grands effets : pour continuer à attirer les spectateurs en salles, dans un contexte de montée en puissance des nouveaux modes de visionnage en streaming, l’idée est de proposer un divertissement haut en couleurs, pour lequel la qualité de visionnage est importante. Et utiliser les technologies Dolby, à savoir le HDR Dolby Vision et le son immersif Dolby Atmos, « magnifie tout », comme le souligne Nicolas Bonnet, directeur de la post-production, grâce à la qualité d’image et de son inégalée et à l’immersion inédite qu’elles apportent.

Tout le travail a été fait pour que le spectateur qui va à une projection en Dolby Vision voit quelque chose de plus détaillé, avec plus de texture tout en respectant les choix artistiques faits en SDR

Nicolas Bonnet, directeur de post-production

Côté image : le HDR Dolby Vision pour plus de panache

 

L’étalonnage du film a d’abord été réalisé en SDR ; la version Dolby Vision a été élaborée après. « Le parti pris a été d’essayer de reproduire, avec le Dolby Vision, l’image que l’on avait l’habitude de voir et qui nous plaisait en SDR, tout en gardant les informations que l’on avait en plus avec le Dolby Vision », explique Fabien Pascal, étalonneur des deux volets de la saga. Un travail minutieux car « chaque scène est différente, et il y a beaucoup d’effets spéciaux ; ce sont des éléments complexes pour l’étalonnage, car il faut arriver à tenir une patine globale pour tout un film, sur toutes les séquences, en passant par des jours, des nuits et des décors totalement différents, des ambiances bougies… », détaille t’il.

Côté image : le HDR Dolby Vision pour plus de panache

 

L’étalonnage du film a d’abord été réalisé en SDR ; la version Dolby Vision a été élaborée après. « Le parti pris a été d’essayer de reproduire, avec le Dolby Vision, l’image que l’on avait l’habitude de voir et qui nous plaisait en SDR, tout en gardant les informations que l’on avait en plus avec le Dolby Vision », explique Fabien Pascal, étalonneur des deux volets de la saga. Un travail minutieux car « chaque scène est différente, et il y a beaucoup d’effets spéciaux ; ce sont des éléments complexes pour l’étalonnage, car il faut arriver à tenir une patine globale pour tout un film, sur toutes les séquences, en passant par des jours, des nuits et des décors totalement différents, des ambiances bougies… », détaille t’il.

« Tout le travail a été fait pour que le spectateur qui va à une projection en Dolby Vision voit quelque chose de plus détaillé, avec plus de texture tout en respectant les choix artistiques faits en SDR », souligne Nicolas Bonnet, directeur de la post-production. Le processus a donc été de garder cette patine, cette matière du SDR tout en jouant avec les outils Dolby pour pouvoir profiter de cette nouvelle plage dynamique pour accentuer la profondeur et la richesse de l’image, notamment dans les basses lumières.

Le Dolby Vision renforce et amplifie encore la dynamique et la force des images que l’on avait recherchées lors du tournage

Nicolas Chalons, , directeur technique

L’étalonnage en Dolby Vision, de l’avis de tous, valait largement le travail effectué. « Par rapport à la copie normale, on regagne en texture et en profondeur de champ » décrit Nicolas Bonnet, à tel point qu’il est arrivé à l’équipe, sur les deux films, de voir des choses qui ne paraissaient pas sur la copie SDR. Il a donc fallu, par exemple, retravailler des effets spéciaux. « La première fois qu’on est allé à Londres (chez Dolby), ça a été une vraie découverte », décrit Nicolas Bolduc, chef opérateur. « J’avais déjà vu des films en salle, et c’est toujours impressionnant, mais être dans la salle Dolby à Londres, travailler les images et voir le résultat, j’avais presque l’impression d’un effet 3D. » Un des points forts de la saga Trois Mousquetaires, en tant que film-spectacle, est la qualité des décors et des costumes, que le Dolby Vision permet d’apprécier avec un nouveau degré de détail. Pour ce deuxième volet, des leçons ont d’ailleurs été tirées du travail qui avait été accompli sur D’Artagnan, sur lequel l’équipe avait eu des retours notamment sur l’aspect sombre du film. « Le scénario de Milady est plus visuel, et joue sur de nombreux extérieurs ; on a choisi de travailler sur une colorimétrie plus lumineuse, plus claire et plus brillante, en jouant davantage sur les contrastes, que pour D’Artagnan », explique Martin Bourboulon, réalisateur dans une interview donnée à Première en décembre 2023.

L’étalonnage en Dolby Vision, de l’avis de tous, valait largement le travail effectué. « Par rapport à la copie normale, on regagne en texture et en profondeur de champ » décrit Nicolas Bonnet, à tel point qu’il est arrivé à l’équipe, sur les deux films, de voir des choses qui ne paraissaient pas sur la copie SDR. Il a donc fallu, par exemple, retravailler des effets spéciaux. « La première fois qu’on est allé à Londres (chez Dolby), ça a été une vraie découverte », décrit Nicolas Bolduc, chef opérateur. « J’avais déjà vu des films en salle, et c’est toujours impressionnant, mais être dans la salle Dolby à Londres, travailler les images et voir le résultat, j’avais presque l’impression d’un effet 3D. » Un des points forts de la saga Trois Mousquetaires, en tant que film-spectacle, est la qualité des décors et des costumes, que le Dolby Vision permet d’apprécier avec un nouveau degré de détail. Pour ce deuxième volet, des leçons ont d’ailleurs été tirées du travail qui avait été accompli sur D’Artagnan, sur lequel l’équipe avait eu des retours notamment sur l’aspect sombre du film. « Le scénario de Milady est plus visuel, et joue sur de nombreux extérieurs ; on a choisi de travailler sur une colorimétrie plus lumineuse, plus claire et plus brillante, en jouant davantage sur les contrastes, que pour D’Artagnan », explique Martin Bourboulon, réalisateur dans une interview donnée à Première en décembre 2023.

Le résultat ? Un film encore plus spectaculaire. L’avantage supplémentaire est qu’avec le Dolby Vision, l’image est la même quelle que soit la salle Dolby Cinema. « Une des scènes qui m’a le plus impressionné est celle de la bataille, qui se déroule dans l’obscurité, avec l’attaque des bateaux, les canons… Le Dolby Vision renforce et amplifie encore la dynamique et la force des images que l’on avait recherchées lors du tournage », décrit Nicolas Chalons, directeur technique et responsable image chez LUX, le studio de post-production. Et on pourrait encore aller plus loin. En France, on a tendance à rester assez proche d’un rendu d’image traditionnel ; mais les anglo-saxons par exemple ont tendance à pousser le curseur pour tirer le meilleur parti du système – plus de contraste, plus de profondeur… Commencer par travailler directement en Dolby Vision permet de bénéficier dès le départ de la plus grande richesse d’image. « Par exemple, nous avons fait en post tout un travail sur les costumes pour pouvoir les éclaircir et gagner du détail ; si nous étions partis directement du Dolby Vision, ce sont des informations que l’on aurait eues directement, et on aurait eu une richesse beaucoup plus importante », concède Fabien Pascal.

Milady fait partie des grosses productions françaises où l’on ne se pose pas la question de l’utilisation du Dolby Atmos

Cyril Holtz, mixeur son

Côté son : immersion imparable avec le Dolby Atmos

 

Le mixage sonore a également bénéficié de la technologie Dolby, avec le Dolby Atmos, un choix voulu et assumé par les équipes du film. « J’ai redécouvert également la scène de l’attaque de la citadelle grâce au son. Ce n’est pas mon département, mais avec les coups de canon, la salle vibrait. J’ai vraiment été impressionné ; avec le son et l’image, j’avais l’impression d’un effet 3D », explique Nicolas Bolduc. La technologie Dolby Atmos apporte en effet un degré d’immersion supplémentaire qui amplifie grandement l’aspect spectaculaire des scènes d’actions ; de fait, « Milady fait partie des grosses productions françaises où l’on ne se pose pas la question de l’utilisation du Dolby Atmos », souligne Cyril Holtz, mixeur sur les deux films. L’ajout d’objets sonores que l’on peut déplacer dans l’espace, librement, est un plus certain. Mais ce n’est pas le seul atout du Dolby Atmos.

Côté son : immersion imparable avec le Dolby Atmos

 

Le mixage sonore a également bénéficié de la technologie Dolby, avec le Dolby Atmos, un choix voulu et assumé par les équipes du film. « J’ai redécouvert également la scène de l’attaque de la citadelle grâce au son. Ce n’est pas mon département, mais avec les coups de canon, la salle vibrait. J’ai vraiment été impressionné ; avec le son et l’image, j’avais l’impression d’un effet 3D », explique Nicolas Bolduc. La technologie Dolby Atmos apporte en effet un degré d’immersion supplémentaire qui amplifie grandement l’aspect spectaculaire des scènes d’actions ; de fait, « Milady fait partie des grosses productions françaises où l’on ne se pose pas la question de l’utilisation du Dolby Atmos », souligne Cyril Holtz, mixeur sur les deux films. L’ajout d’objets sonores que l’on peut déplacer dans l’espace, librement, est un plus certain. Mais ce n’est pas le seul atout du Dolby Atmos.

« Il y a pour moi plein de choses qui sont peut-être un peu moins mises en avant, mais qui sont un plus pour le mixage en lui-même. De manière un peu contre-intuitive, j’ai tendance à penser qu’on mixe moins en force parce que les choses rentrent plus facilement ; on a plus d’espace, plus d’ampleur », continue Cyril Holtz. « Il se dégage une impression de facilité ; grâce à cette dimension d’espace supplémentaire, les mixages sont un peu moins en bloc, moins monolithiques, notamment quant aux possibilités pour amener la
musique », un élément important pour des films aussi musicaux que Milady.
« Parmi les scènes qui me plaisent particulièrement, mais où l’aspect spectaculaire du Dolby Atmos est moins visible, il y a celles avec des sons d’ambiance, en intérieur ; la sensation d’espace dans les pièces immenses des châteaux est encore plus enveloppante, on est encore plus à l’intérieur des lieux », estime Cyril Holtz. Et, d’un point de vue technique – mais qui n’est pas à négliger -, le Dolby Atmos permet une compatibilité descendante sur les autres formats, ce qui veut dire que le travail de mixage n’est pas à refaire pour toutes les versions.

Milady est un film grand spectacle ; et sur un écran géant, voir l’effet Dolby, voir cette profondeur, ça ajoute au film

Nicolas Bolduc, directeur de la photographie

Le summum du spectacle sur tous les écrans

Le film a réalisé un excellent démarrage en salle, avec plus d’un million d’entrée en deux semaines. Les avis sont unanimes : « Le son est juste incroyable, on est vraiment plongé dans l’univers », « l’expérience Dolby est encore plus augmentée », « on a vraiment l’impression d’être dans l’action », … racontent les spectateurs à la sortie de leur séance. Pathé d’ailleurs ne s’y ait pas trompé, mettant en avant la version Dolby Cinema du film via logo sur tous les éléments de promotion du film et l’affiche officielle. « Milady est un film grand spectacle ; et sur un écran géant, voir l’effet Dolby, voir cette profondeur, ça ajoute au film », estime Nicolas Bolduc. Aller voir une projection dans une salle Dolby Cinema donne l’impression d’être plus encore en immersion que dans une salle classique ou devant une télévision à la maison, et cela peut faire une grande différence. « Le film est construit pour une projection ; les plans larges, les gros plans… Le rythme du montage a été construit pour une salle. Et là, c’est le summum de la salle, donc c’est parfait, c’est vraiment fait pour », continue Nicolas Bolduc. En plus, les salles Dolby Cinema, non contentes de proposer aux spectateurs le nec plus ultra du son et de l’image, offrent un confort inégalé : vue dégagée sur l’écran, fauteuils inclinables… De quoi profiter au mieux de l’expérience sur grand écran, avant de pouvoir en en bénéficier chez soi lors des sorties en VOD et supports physiques.

Pour plus d’informations sur comment produire en Dolby, visitez https://professional.dolby.com/fr/films-series/

Les Trois Mousquetaires : Milady, le grand spectacle à son summum en Dolby

Les Trois Mousquetaires : Milady, le grand spectacle à son summum en Dolby